Je ne sais pas ce qui est le plus difficile pour toi : que tu aies dû renoncer à tes études ou que tu aies pris ce travail insignifiant. Je vois cependant que tu es courageux face à l'adversité. Sois certain que j'ai pour toi le plus grand respect, malgré les circonstances. Fasse le ciel que j'aie l'occasion de te le prouver, avant que le destin ne nous ait éloignés.
Si vous avez eu des difficultés, revenez aux exercices plus spécifiques :
AI/AIE
ES/AIES
EST/AIT
Il est six heures du soir. Tu es encore là, alors même que j'ai multiplié les appels du pieds pour t'encourager à partir. Je pense à la route qui t'attend et je crains que la fatigue n'ait raison de toi avant que tu sois arrivé à bon port. Que tu aies un accident, et je ne me le pardonnerai jamais. Pourvu que j'aie enfin la phrase qui te convaincra de rentrer.
Jusqu'à ce que j'aie rejoint ce groupe et que tu aies fait ton apparition dans mon existence, la vie se refusait à faire sens. Maintenant, tu es là et j'ai su reprendre des forces. Plaise au ciel qu'il n'y ait rien pour nous séparer. Le but est là, devant nous.
Comment aurais-je pu imaginer que tu n'aies pas pensé à cette si simple chose, que je n'aie pas, de ce fait, la moindre chance de m'en tirer ? Il est des circonstances imprévisibles qui décident d'une vie. Je n'ai pas su prévoir. Tu t'es montré stupide. Et, bien que tout ait été fait jusqu'alors pour que cette grossesse parvienne à son terme en épargnant et ma vie et celle de notre enfant, voilà qu'il en est autrement.
L'asticot est à cet étrange pays ce que la baguette est à la France. Et, tu en es bien malheureux, toi qui le diriges. A-t-on déjà vu un pays qui ait un emblème aussi repoussant ? Bien que tu aies tout fait pour changer cela, à grands coups de communication, rien n'y a fait. J'ai, quant à moi, une certaine tendresse pour cet emblème dont personne ne veut, sans que j'aie la moindre capacité à me l'expliquer.